« Il existe des effluves qui vous ramènent directement à l’enfance : la mousse des sous-bois, le parfum d’une mère…. Ma madeleine de Proust olfactive c’est la peinture à l’huile et son essence de térébenthine. J’ai 6 ans, j’observe mon père qui peint, devant le chevalet, les tubes, la palette et les mélanges : Et sous nos yeux apparaît la toile. Je suis devenue une admiratrice de tableaux. C’est à Madrid, puis à Vienne que j’ai découvert vos toiles Gabriele Münter …

Mesdames, vous êtes des inspiratrices, des consolatrices, vous êtes des mères,  des sœurs, merci Mesdames. »

Avec le même charme délicat que celui porté par sa voix, Géraldine Lefrêne rend hommage à travers “Merci Mesdames” aux femmes de sa vie d’artiste comme une filiation, une famille choisie.

Une douzaine de titres originaux composés en français et en anglais, constituent ce nouvel opus.

– Les musiciens David Bressat (claviers), Rémy Kapriélan (Batterie et chœurs), Maurade Méniri (Guitares et basse) et Clélia Bressat-Blum (Piano, claviers et chœurs) travaillent ensemble depuis de nombreuses années, notamment avec le projet « Cher Nougaro » salué par Hélène l’épouse du poète.

– Une Mise en scène menée par Géraldine Bénichou, fondatrice du théâtre du grabuge, un travail d’images projetées par Ivan Mercier (http://ginga.productions/) et le son assuré par Clément Bally, ont su aider Géraldine à mettre en forme son univers.